অভিসার

“Valérie PRATS (Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux arts de Paris, née en 1969) fait de la peinture post impressionniste proche parfois de l’expressionnisme figuratif. Son travail a connu une grande visibilité dans les années 2000 en Normandie. Une exposition personnelle lui a été consacrée au Château de la Roche-Guyon dans le Val d’Oise en 1996 et en 2009 à l’Orangerie du Parc de la Tête d’Or à Lyon. Valérie Prats a réalisé de nombreuses expositions depuis plus de vingt ans en Normandie, dans la région lyonnaise, et dans le Gard. Elle développe un travail pictural dans la lignée des peintres de la réalité poétique. Sa création récente interroge la relation à l’aspect fugitif de la réalité, avec une palette de vrai coloriste et des fonds presque archaïques.”

via Artistes Contemporains.

Valérie Prats expose ses toiles à l’Orangerie du parc de la Tête d’Or.
Photo: Jacqueline Ashby

Coup de Cœur

Quand on a pas ce que l’on aime, il faut aimer ce que l’on a

“La Centauresse et le faune ou Centauresse et Faune est une sculpture d’Augustin Courtet installée dans le jardin du Palais Saint-Pierre en 1849 avant d’être transférée au parc de la Tête d’or à proximité de la Porte des Enfants du Rhône. La statue a été coulée par le fondeur parisien Édouard Quesnel.”

via Wikipedia.

Fleur des Champs

“Louis Janmot est un peintre religieux (Le Poème de l’âme). Il sacrifie ici à la tradition lyonnaise de la composition florale en peinture sans renoncer au symbolisme chrétien qui le caractérise. Contrairement aux artistes de son temps, il ne cherche pas à magnifier les fleurs créées par l’homme, les fleurs savamment cultivées. Il met au contraire l’accent sur la fraîcheur des fleurs naturelles, sur la simple beauté de la création divine, sur le caractère sacré de la « fleur des champs » du Cantique des Cantiques ou de la rose mystique par la représentation de l’églantier. Il rappelle dans le même temps, cultivées ou naturelles, le caractère éphémère des fleurs comme de toute création et invite à la réflexion sur le passage du temps illustré par les versets 15 et 16 du psaume 103 : « L’homme ! ses jours sont comme l’herbe, il fleurit comme la fleur des champs. Lorsqu’un vent passe sur elle, elle n’est plus, et le lieu qu’elle occupait ne la reconnaît plus. » Le regard songeur et grave de la jeune fille illustre la prise de conscience de son destin, éphémère comme celui de la fleur des champs, malgré sa beauté simple.”

via Wikipedia.